Les visiteurs sont invités à faire un petit tour chez Baptiste Coulmont, pour un aperçu des conditions de travail dans une université parisienne qui reste suffisamment prestigieuse pour produire des recherches de qualité et accueillir un bon contingent d’étudiants et de chercheurs étrangers.
”On a de la chance monsieur, la salle est bien chauffée et c’est bien éclairé” : les premiers mots que j’ai entendus à ma première séance de travaux dirigés, ce lundi après-midi.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
François (13 février 2010). Conditions matérielles de travail. Polit’bistro. Consulté le 26 mars 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/sylq
Effectivement, cela semble des plus sympathique. J’ai connu la même chose à Paris X Nanterre au milieu des années 1990, certaines salles avaient encore des restes d’affiches et de graffitis politiques des années 1970… la misère de l’Université française n’est pas un vain mot!